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An die musik

An die musik

(Code: A111100794)

An die Musik, une pièce de Franz Schubert, texte de Franz Schober, arrangement de Pierre Calmelet pour chœur à quatre voix mixtes SATB et piano. Composé en mars 1817 sur un poème de son ami Franz Schober (1796-1882), An die Musik est l’un des plus célèbres Lieder de Franz Schubert. Le poète remercie la musique qui l’a toujours soutenu dans les heures difficiles, lui ouvrant les portes d’un monde meilleur. Ces paroles d’espoir ont inspiré à Schubert, alors âgé de 20 ans, une musique lumineuse que certains critiques qualifieront même de « miraculeuse ».
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An die Musik, une pièce de Franz Schubert, texte de Franz Schober, arrangement de Pierre Calmelet pour chœur à quatre voix mixtes SATB et piano

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Composé en mars 1817 sur un poème de son ami Franz Schober (1796-1882), An die Musik est l’un des plus célèbres Lieder de Franz Schubert. Le poète remercie la musique qui l’a toujours soutenu dans les heures difficiles, lui ouvrant les portes d’un monde meilleur. Ces paroles d’espoir ont inspiré à Schubert, alors âgé de 20 ans, une musique lumineuse que certains critiques qualifieront même de « miraculeuse ».
C’est par ce Lied que s’achevaient traditionnellement les Schubertiades, concerts privés mondains organisés dans les appartements de riches viennois. Ce rituel s’est perpétué jusqu’à nos jours et c’est souvent An die Musik qui est choisi pour clore d’importants événements musicaux (concerts, colloques, etc…)
Il serait impossible de dresser la liste de tous les chanteurs qui se sont illustrés dans l’interprétation de cette œuvre. Citons toutefois les exceptionnelles versions de Felicity Lott, Dietrich Ficher Diskau et Fritz Wunderlich.
L’harmonisation à 4 voix a été réalisée par Pierre Calmelet durant le confinement avec les chanteurs du Madrigal de Paris : https://www.lemadrigaldeparis.fr/productions/an-die-musik/

Traduction du texte :



A la musique

Ô noble art, que de fois dans les heures tristes,
Quand m'étreignait le poids de la vie,
As-tu réchauffé mon cœur à des cieux plus doux,
M'as-tu enivré dans un monde plus beau !

Souvent, un soupir échappé de ta harpe,
Un doux et céleste accord dont tu as le secret,
M'entrouvrait les cieux de jours meilleurs,
Ô noble art, sois en remercié !

Durée d’exécution : 2’30’’