L'adaptation française est très proche de la traduction littérale. La première partie du chant, en mineur, vise à donner l'impression d'un immense paysage pris dans la glace, où rien ne bouge. Il faut le chanter en veillant, comme disait Baudelaire, "à ne pas déplacer les lignes". Texte original russe en fin de partition.
Na severe dikom