Ce noël illustre les échanges qui ont toujours existé, dans la musique populaire, entre le sacré et le profane. Que le timbre d’une chanson plaise et soit célèbre, et aussitôt vous le verrez devenir indifféremment chanson à boire ou cantique ou noël – sans que l’on sache toujours lequel a l’antériorité sur l’autre. C’est le cas de ce noël du carillon de Besançon.