Anonyme du XVIème siècle. Le compositeur a emprunté un texte qui mélange un jargon italien et des mots espagnols. De l'emploi des deux langues résulte un coq-à-l'âne : un sens général n'a donc plus lieu d'être. L'intérêt réside essentiellement dans la musique. Cette pièce est extraite du "Cancionero de palacio".