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Kanadenn penn ar bed - Cantate du bout du monde (n° 7 et 8)

Kanadenn penn ar bed - Cantate du bout du monde (n° 7 et 8)

(Code: A110400114)
-SATB - partie choeur seul - Jeff Le Penven - Pierre Jaquez Helias
3,70 EUR
12g
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Cantate en 8 mouvements pour choeur SATB, solistes soprano, ténor, baryton et orchestre, musique de Jeff Le Penven, texte de Pierre Jacquez Hélias.
Matériel disponible en location, nous consulter.


Cette oeuvre, pur produit du patrimoine breton est présenté dans une édition bilingue français - breton (les deux étant de la plume de l'auteur), qui permet à tous de choisir de chanter en breton, en français, ou peut-être en alternant les deux langues, en fonction des choix artistiques de chacun.

Le texte, très inspiré, raconte la quête du soleil par les Celtes à travers l’Europe.

La musique est un pur produit de la tradition bretonne, et est accessible à la plupart des chorales. A programmer sans hésiter !

Instrumentation : 2 flûtes, 1 hautbois, 1 clarinette sib, 1 basson, 1 cor, 2 trompettes en ut, 1 trombone, 2 tubas sib, timbales, violon 1, violon 2, alto, violoncelle, contrebasse.

Matériel en location, nous contacter.


 

Durée d'exécution : environ 50 minutes

Un court extrait est ici interprété par le choeur "Chantepie chante":


Préface de l'oeuvre, par l'auteur du texte :
"Cette oeuvre est un extrait de annales chantées qui ont disparu de la bouche des hommes et même de leur mémoire depuis l'effondrement du grand empire celte. Dans les bribes de légendes qui subsistent, par-delà les rares témoignages matériels qu'ils ont laissé de leur passage en europe, nous avons essayé d'entendre les anciennes rumeurs de leur gloire.
Les historiens qui célèbrent les victoires de leurs vainqueurs, impressionnés eux-mêmes par la hauteur et la noblesse des vaincus, n'ont pas réussi à passer sous silence les traits de caractère les plus frappants de la celtie et se sont faits les chantres de ce terrible "Mal de quête" qui allait mener les celtes à leur perte et demeurer à jamais le meilleur apanage de leur grandeur.
C'est pourquoi il était juste, il était nécessaire de leur prêter cette voix et cette musique qu'ils préféraient à l'écriture pour la célébration de leur destin. Le texte original a été écrit en breton armoricain et la version française est une transposition de l'auteur. Quant à la musique, on peut dire qu'elle est également écrite en breton, tant il est vrai que ses accents et sa couleur restituent ce qu'il y a de plus sensible dans notre fonds traditionnel."