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Le voyage

Le voyage

(Code: A112200160)
« Dans son Anthologie des poètes français Georges Pompidou définit Émile VERHAEREN (1855-1916) comme le poète de la vitalité et du paroxysme. Je me permettrai d’y ajouter l’empathie et la tendresse. Pour répondre à la commande du Pôle Choralies À Coeur Joie Normandie et de son chef de choeur et présidente Emmanuelle Pascal–Falala, je me suis tournée pour la seconde fois vers les poèmes d’Emile Verhaeren – retrouvant le plaisir de mettre en musique un de ses poèmes. Comment résister en effet à cette première phrase, ondulante et évocatrice, qui semble appeler presque irrésistiblement la musique et le chant : « Je ne puis voir la mer sans rêver de voyages. » Je reconnais cependant qu’il y a là de la part du musicien (de la musicienne) vanité et outrecuidance à s’approprier sans le consentement de l’Auteur ses pensées et ses mots. Mais je n’ai pas voulu bouder mon plaisir... et également, priver des interprètes d’une rencontre avec un grand poète. » Isabelle ABOULKER
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« Dans son Anthologie des poètes français Georges Pompidou définit Émile VERHAEREN (1855-1916) comme le poète de la vitalité et du paroxysme. Je me permettrai d’y ajouter l’empathie et la tendresse. Pour répondre à la commande du Pôle Choralies À Coeur Joie Normandie et de son chef de choeur et présidente Emmanuelle Pascal–Falala, je me suis tournée pour la seconde fois vers les poèmes d’Emile Verhaeren – retrouvant le plaisir de mettre en musique un de ses poèmes. Comment résister en effet à cette première phrase, ondulante et évocatrice, qui semble appeler presque irrésistiblement la musique et le chant : « Je ne puis voir la mer sans rêver de voyages. » Je reconnais cependant qu’il y a là de la part du musicien (de la musicienne) vanité et outrecuidance à s’approprier sans le consentement de l’Auteur ses pensées et ses mots. Mais je n’ai pas voulu bouder mon plaisir... et également, priver des interprètes d’une rencontre avec un grand poète. » Isabelle ABOULKER