Poème anonyme et sans prétention comme le timbre musical assez répétitif que Claudin “manipule” polyphoniquement de manière diverse à chaque couplet. Cette version retiendra l’attention de Roland de Lassus qui s’en servira comme support d’une de ses nombreuses messes-parodies
Messe pilons l’orge réf. ACJ 19 0685
Sans difficulté particulière pour son apprentissage, l’interprétation soignera l’opposition refrain/couplet que soulignent tant l’écriture musicale (contrepoint/homophonie) que le sens des textes justaposés. Francis Poulenc reprendra dans les Huit Chansons françaises ce timbre en le parant d’une nouvelle polyphonie.