Dans la veine des villanelles et autres moresques, Tutto lo di favorise la diction alerte d'un texte dont la musique est au service de sa compréhension. A cause de son écriture le plus souvent homorythmique, l'exécution de cette pièce veillera à faire chanter la langue italienne chère à Orlando di Lasso.De ce même recueil paru en 1581 chez Le Roy et Ballard sont particulièrement connues deux autres pièces du compositeur : le canon pour choeur Eco et la morescha Matona mia cara.